Entre deux chapitres de Dalva (pour la enième fois) Mariusz Wilk, (ah oui, il faut que je vous raconte) et Le Roman de Bergen de Staalasen j'ai eu envie de légèreté, de récréation...et quand à la Librairie j'ai aperçu Sans Brunetti de Donna Leon, je n'ai pas pu résister...
J'ai un faible certain pour ce beau commissaire Brunetti, à la voix de velours,( mais oui, je lui parle souvent...)marié à une ravissante et intelligente Paola...(rien n'est parfait)...
Mais aujourd'hui ce sont des essais que nous découvrons, un genre littéraire que j'aime beaucoup...c'est un peu comme si on était assise sur un banc, près de Donna Leon, et que l'on bavardait come des amies...léger, vif, ciselé...Un universitaire, docteur en philosophie, gardien de l'horloge de la tour Saint-Marco, des cantatrices, un pont, une ambassade américaine, un macho, un Armani, deux ponts, des livres, une orange...et quatre petites taupes grises...et les lérots...un médecin, des fous, des larmes, un sourire, deux éclats de rire et une grimace...
J'en reveux bien plus souvent Madame Leon...
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